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Q&R 1997

Cette page rassemble les questions de 1997 et leurs réponses parues dans les anciens bulletins de la SNG. 

Toutes les questions et les réponses ont été reprises dans un forum qui n’existe plus à l’heure actuelle.

1997 Q 01

Mme Marthe PERRIN, Moutier

Recherche l’ascendance de Jean-Henri ROBERT, de Noiraigue, né le 8 juillet 1755 ; épouse le 20 mars 1779 Susanne Marie DUBOIS fille de feu Ulrich Pierre, communier de Travers

1997 R 01

Voir la page : Famille Robert-Nicoud

1997 Q 02

M. Jeanrenaud, Genève

Recherche l’ascendance de JEANRENAUD Abraham, fils de Claude, communier et natif de Môtiers dans le Val-de-Travers, né en 1645, lui-même fils de Claude dit DE-LA-MONTAGNE, époux de Susanne GINDRAUX, fille de Nicolas.

1997 Q 03

M. Delachaux, Paris

Recherche l’ascendance de DELACHAUX-DIT-GAY Frédéric, fils de David, lui-même fils de Frédéric, né le 25 janvier 1803 à La Chaux-de-Fonds. Il épouse en 1831 Julie Emilie JEANRENAUD, fille de … , communier du Petit-Bayard.

1997 Q 04

Germain HAUSMANN

Toute personne qui pourra me dire d’où est tiré le passage suivant de Saint Augustin sera la bienvenue :

« Donec finiatur seculum sursum Dominus est, sed tamen hic nobiscum est veritas Domini. Corpus enim in quo resurrexit in uno loco esse oportet, veritas autem eius ubique diffusa est »

1997 R 09

Germain HAUSMANN

Dans le dernier Bulletin, j’avais lancé un appel à toute personne qui pourrait me dire d’où était tiré le passage cité dans les « placards » de Marcourt et attribué à Saint Augustin : « Donec finiatur seculum sursum Dominus est, sed tamen hic nobiscum est veritas Domini. Corpus enim in quo ressurexit in uno loco esse oportet, veritas autem eius ubique diffusa est« . Monsieur André SCHNEIDER, professeur à l’Université de Neuchâtel, m’a fait part d’une recherche qu’il a bien voulu faire à ce propos. Grâce à l’amabilité d’un collègue de l’Université de Lausanne et à la consultation du CD-Rom « Cetedoc Library of Christian Latin Texts » édité par Brepols, il est parvenu à déterminer que cette phrase n’appartient pas à saint Augustin, mais à un auteur médiéval qui s’inspire largement des œuvres de l’évêque d’Hippone, Bérenger de Tours (né vers 1010 et mort en 1088). Dans son écrit « Rescriptum contra Lanfrannum » (pars 3, linea 218 = CC 84), cet auteur dit en effet : « Donec seculum finiatur sursum est dominus, sed tamen etiam hic nobis cum est veritas dominus. Corpus enim in quo surrexit, uno loco esse opportet, veritas autem eius ubique diffusa est ». Cette phrase est presque identique à celle citée dans les « placards » que Marcourt attribue habilement, mais de façon cavalière, à un père de l’Eglise, alors qu’elle provenait d’un polémiste du XIe siècle. Rappelons que les théories de ce dernier furent souvent condamnées par les autorités religieuses. ce renseignement me fait particulièrement plaisir car, désormais, on peut considérer l’édition des « placards » comme terminée et complète.

1997 Q 4

Jacques FAVRE, Mulhouse

Recherche l’ascendance d’Anthoyne FAVRE-DIT-MARTIN (1651-1703), fils d’Abraham, de Boveresse. Il est frère de Jaques, de Blaise et de Guillaume.

1997 R 04

M. Louis BARRELET, Neuchâtel

Réponse à la question de M. Jacques FAVRE, de Mulhouse.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les FAVRE qui jouent un rôle à Boveresse sont les FAVRE DIT MARTIN. Les FAVRE DIT MILAN sont aussi de Boveresse, mais moins nombreux. Ils ont des alliances avec, entre autres, les familles BARRELET, DUBIED de Boveresse et MEURON de Saint-Sulpice et Neuchâtel.

A même époque, il y a plusieurs Antoine FAVRE homonymes ou proches. Les notaires Jacques CHEDEL, le 25 janvier 1709, et le notaire Abraham BARRELET, le 8 février 1703, font mention de Françoise, veuve de feu Antoine FAVRE de Boveresse, et de ses trois fils : Abraham, Jacob et Isaac.

1997 Q 05

M. Frédéric LAVILLE, Strasbourg

Cherche un correspondant ayant étudié la famille NICOLET-DIT-FELIX, plus précisément l’ascendance de Henri Louis, originaire de La Sagne et Les Ponts, né vers 1840, peintre en cadrans et marié en premières noces à Louise Uranie DUBOIS de La Chaux-de-Fonds.

1997 Q 06

M. François CARPENTIER, Rotterdam

Recherche l’ascendance de Louis HUGUENIN, né le 20 juin 1734 au Locle ; fils d’Abraham, lui-même fils de feu David et de Jeanne Marie DROZ. Mercenaire au Régiment suisse des colonels ERNST et SANDOZ, chefs des Gardes suisses en Hollande. Epouse le 7 juillet 1765 à La Haye, en l’église réformée wallonne, Jeanne-Françoise REIROD, de Rougemont (Vaud), fille de François, mercenaire, et d’Isabelle BEX, née en 1743 ; décédée le 11 novembre 1795.

1997 Q 07

Roger DUBREZ

Recherche l’ascendance de Marie JEAN-RICHARD-DIT-BRESSEL, de La Sagne, fille d’Alcide, né en 1846 et de Marie BERNARD, fille de Jacob, et de Marie WITCHI, née à Saint-Imier le 17 février 1873, morte à Pully (Vaud) le 5 juin 1949. Epouse de Charles Frédéric MONNIER, de Tramelan-Dessous, horloger (boîtier), né le 30 septembre 1874 à Saint-Imier.

1997 Q 08

Mme Christine RINGENBACH, Laxou, Nancy

Recherche l’ascendance de Jean-Baptiste CALAME, fils d’Abraham-Jean-Baptiste, originaire du Locle et de Saint-Imier, et de Magdeleine BERSOT. Bourgeois et boulanger de et à La Poudroie dans le Haut-Rhin (Alsace), où il meurt le 11 mars 1804. Il épousa, le 19 juillet 1768, Marie-Barbe DE LA COTE, originaire de La Poudroie.

1997 Q 09

M. Pierre-Arnold BOREL, La Chaux-de-Fonds

Une lettre datée du 16 août 1834, envoyée de Couvet à Paris, annonce ceci :

 L’oncle Henri Alexandre est mort sur le bateau de la grippe en se rendant au Brésil avec son fils. Son fils a continué le voyage 

Le port de débarquement était probablement Rio de Janeiro. Les bateaux français accostaient-ils à Salvador ou à Vittoria dans la province de Bastia ?

Il s’agit d’Henri Alexandre BOREL père, né à Couvet le 18 novembre 1781, fils de Daniel Henry et de Suzanne Madelaine VAUCHER DE LA CROIX, décédé en mer en 1834. Henri Alexandre BOREL fils, dit Henri, s’est installé en 1834 dans la province de Bahia, à la Colonie Léopoldine, comme planteur de café.

Nous recherchons le nom du bateau et la date exacte du décès d’Henri Alexandre BOREL père.

1997 R 09

C’est hélas dans le nom du bateau que réside la solution du problème. Il sera sans doute nécessaire de compulser les listes de passagers de tous les navires ayant fait la traversée sur l’Amérique du Sud en 1834. Le GRD (Genealogical Research Directory) offre une possibilité de recherche dans sa rubrique Shipping & Ships (navires et leurs passagers) ou Migration. Quelques 500 entrées figurent pour la première et 400 pour la seconde édition de cette année ; il est en outre possible de signaler que la recherche pour l’édition 98 (s’adresser à la Rédaction).

INTERNET offre également des possibilités de recherche (Cindy, GénéAssistance, Karolus, etc.) mais celle-ci ne s’avérera très difficile si vous ne connaissez pas le port d’embarquement et n’êtes pas sûr de lui d’arrivée … Bon courage !

1997 Q 10

Jean GARTNER, Fonfrège St-Clément de Rivière, France

Recherche l’ascendance de Marianne SANDOZ (1751-1824), fille de David, épouse en 1778 Jean Jaques IMER (1740-1804), pasteur à La Chaux-de-Fonds, fils de Jean Jacob, notaire à Diesse, et de Marguerite HUGUENET.

1997 R 10

M. Georges FALLET, Neuchâtel

Réponse à la question de M. Jean GARTNER :

  1. Marianne SANDOZ, 1751-1824, fille de David.
  2. David SANDOZ, né en 1721, fils de David, communier du Locle, bourgeois de Valangin, tanneur, épouse en 1746 Marie Madelaine DUCOMMUN, née en 1723, fille de Jean Rodolphe, 1679-1725, et de Marie Madelaine BRANDT, tous deux de familles locloises.
  3. David SANDOZ, fils de Josué, tanneur, décédé nonagénaire aux Replattes rière Le Locle en 1783, épouse au Locle en 1718 Susanne HUGUENIN, originaire du Locle, née en 1695, fille d’Henry, lui-même décédé en 173, tanneur, époux de Judith JACOT-DESCOMBES fille de David, du Locle.
  4. Josué SANDOZ, né vers 1662, cordonnier à La Brévine. Selon le recensement de 1712, il serait âgé de 50 ans.

Un article consacré à ce sujet paraîtra dans le prochain Bulletin (NDR).

1997 Q 11

Martine Chapdelaine, Montréal

Recherche l’ascendance de Marcel BENGUEREL-DIT-PERROUD, né à Moutier vers 1900, époux d’Ida JOBIN, née à Porrentruy.

1997 Q 11

Beverly Bonzon, Santa Monica, Californie

Recherche l’ascendance et la descendance de Charles Alcide DROZ DIT BUSSET (1858-1917) qui épouse en 1880 à La Chaux-de-Fonds Marie Prollius, ainsi que l’ascendance d’Isaac Louis BONZON, fils de Daniel (1829-1905) ; il épousera le 1er octobre 1881 à La Sarraz Adélaïde Rosine MOTTAZ.

1997 Q 12

Mme Yvette Gern, Neuchâtel

Recherche l’ascendance de Louis Victor LEBET, de et à Buttes, horloger, décédé en 1877 ; est propriétaire, dès 1861 , de la Maison du Prussien et des Moulins du Vauseyon. Epoux d’ Augustine HODLER.