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Q&R 1999
Cette page rassemble les questions de 1999 ainsi que leurs réponses parues dans les anciens bulletins de la SNG.
Toutes les questions et les réponses ont été reprises dans un forum qui n’existe plus à l’heure actuelle.
1999 Q 01
M. Michel STEIGER, La Tour-de-Peilz
Recherche informations concernant Abraham BOREL qui épouse en 1728 Marie MATHEY.
1999 R 01
M. Pierre-Arnold BOREL
Abraham BOREL, fils de feu Blaise, laboureur à La Brévine, naît à Couvet où il est baptisé le 22 février 1702 ; il y épouse le 7 février 1728 Marie MATTHEY, fille de feu Samuel, des Chaux et du Locle, veuve d’Abraham MATTHEY-DORET des mêmes lieux. Abraham BOREL fait enterrer sa femme à La Brévine sans autorisation des autorités. Il se soumet, après excuses, à payer 20 batz à la paroisse et les frais de secrétaire de mairie et de sautier le 25 juillet 1728.
(Archives de La Brévine, procès-verbaux).
Pourrait aussi être Abraham BOREL, fils de Blaise, baptisé à Couvet le 29 juin 1691 …
1999 Q 02
M. Jean-Yves BARBIER, Sainte-Foy-lès-Lyon (France)
Cherche l’ascendance de Susanne-Madelaine GORGERAT, épouse de Pierre BARBIER, fils de David, tous deux de Boudry.
1999 R 02
M. Pierre-Arnold BOREL
Susanne-Madelaine GORGERAT, fille de David, bourgeois de Boudry, tambourineur et crieur public du bourg, et de Susanne VOUILLOUX, originaire de Lonay au Pays de Vaud, terres de LL. EE. de Berne. Susanne est baptisée au temple de Boudry le 15 octobre 1724. David son frère est baptisé à Lonay le 23 juin 1726. Susanne-Madelaine épouse à Boudry, le 14 octobre 1752, Pierre BARBIER fils de David bourgeois dudit lieu.
David GORGERAT, père de Susanne-Madelaine, est fils de David et de Salomé CHERLAND. Il est baptisé au temple de Boudry le 17 novembre 1695. David est cloutier et maréchal-ferrant. Son frère Jean-Frédrich est baptisé le 30 octobre 1692. Salomé CHERLAND, épouse de David GORGERAT, décède vers mars 1725 (voir autres détails dans Chronique de famille Gorgerat, de P.-A. Borel).
1999 Q 03
M. Jean-Yves BARBIER, Sainte-Foy-les-Lyon (France)
Recherche l’ascendance de Marguerite GORGERAT, fille de Claude, épouse de Pierre BARBIER, fils de Guillaume.
1999 R 03
M. Pierre-Arnold BOREL
Marguerite GORGERAT, fille de Claude ancien d’Eglise et maître-bourgeois de Boudry, et de Jeanne EMONET communière de Boudry, baptisée le 22 avril 1694 au temple de Boudry, épouse par contrat de mariage du 23 janvier 1717 Pierre BARBIER fils de Guillaume dudit lieu. Témoin : Pierre GORGERAT frère de la mariée ; Jean Frédéric GRELLET, notaire.
Pierre GORGERAT, grand-père de Marguerite, décédé avant 1653 est fils de Guillaume, vigneron. Veuve de Pierre, Madelaine VOUGA est fille de Jaques, lui-même fils de Pierre qui est fils de Pierre, et de Perrenon RIBAUX fille de Pierre, fils de Guillaume, de Bevaix.
Le 24 janvier 1653, Magdelaine VOUGA reconnaît les biens fonciers qu’elle possède en indivis avec Guillaume, Abram, Pierre, Jeanne, Louise et Marie, ses enfants.
1999 Q 04
M. Joseph MOYSE, Le Prélot (France)
Recherche renseignements sur la famille BALLANCHE, communière d’Auvernier et de Peseux, bourgeoise de Neuchâtel, venus s’établir au comté de Neuchâtel en Suisse depuis la Combe d’Abondance au Val de Morteau.
1999 R 04
M. Pierre-Arnold BOREL
Jean BALLANCHE est cité à Peseux en 1497 ; au dit lieu son engagère d’une vigne avec son fils le 29 juin 1504. Le nom de sa femme nous est inconnu. Enfants : Pierre (ligne directe) et Antoine, maître masson ; cité bourgeois de Neuchâtel en 1577. Il épouse Jehanne JEHANROULET fille de Pierre, de Peseux ; leur fils Antoine.
Pierre BALLANCHE, escoffier à Peseux (Peseul) en 1543. Déjà cité dans un acte daté du 19 avril 1549, comme étant décédé. Il avait épousé Marguerite JEHAN-ROULET, fille de Pierre maire de La Côte. Enfant : Jaques (ligne directe).
Jaques BALLANCHE, vigneron, possède vignes à Peseux et à Auvernier. Cité en 1530 et en 1536. Il a épousé, avant 1533, Jeahanne BAULJON, fille de Pierre, d’Auvernier. Elle reconnaît posséder une maison sise à Auvernier en date du 23 août 1569. Leurs enfants sont : Jaques ; il meurt avant 1601. Jehanne CHAILLET, d’Auvernier est citée comme étant sa veuve le 4 avril 1603. Leur fille Jehanne est l’épouse d’Abram CHOUPPARD, d’Auvernier. Pierre ; il reconnaît ses possessions à Auvernier le 4 avril 1603. Il est père d’un fils : Jaquillion. Moÿse (ligne directe).
Moÿse BALLANCHE ; le 26 mars 1583, il achète une vigne à Creuse au vignoble d’Auvernier. Reconnaissance de ses nombreuses vignes d’Auvernier le 4 septembre 1601, ainsi que ses prés à La Torta et sa maison au village, par ses hoirs. Traité de mariage avec Blaisa GRANDJEHAN, d’Auvernier, fille de feu Jacques. Leur fille Elise se marie avec Guillaume MEURON, fils de Daniel. Guillaume est notaire à Saint Sulpy au Vauxtravers. Veuf, Moÿse épouse en secondes noces Jehanne FORNACHON, fille de Michel, à Peseux.
1999 Q 05
Walter GUIDROZ, Houston TX, USA
Recherche ses ancêtres suisses, en particulier dans le canton de Neuchâtel : les familles GUIDROZ, GINDROZ, GINDRAUX qui ont vécu aux Bayards (Petit-Bayard).
1999 Q 06
M. Manuel AICHER, Dietikon
Recherche de la famille de Jean Henri GINDROZ.
1999 R 06
M. Pierre-Arnold BOREL
Jean Henri GINDROZ, fils d’Antoine, fils de Pierre Louis, communier de Bottens et de Poliez-Pittet au district d’Echallens, naît à Gorgier le 26 novembre 1801.
Antoine, fils de Pierre Louis, épouse le 18 juillet 1801 à Saint-Aubin Marie fille de feu Jean-Jaques PERDRIZAT, communier d’Onnens, district de Grandson.
Pierre Louis GINDROZ, résidant à Gorgier au lieu dit « Chez la Tante », est reçu habitant et paroissien de Saint-Aubin le 1er janvier 1798.
(Registre des procès-verbaux de Gorgier, 1788-1795, fo 395).
Il est aussi accordé une attestation honorable à Antoine, son fils, pour les deux ans de séjour dans ce lieu.
(Ibidem. fo 481).
1999 Q 07
M. Pierre-Yves PIECE, Bex
Recherche ascendance de Félix HUGUENIN-VUILLEMIN, communier du Locle, des Ponts-de-Martel et de La Chaux-du-Milieu, né en ce dernier lieu le 1er novembre 1782, domicilié à La Chaux-de-Fonds. Veuf de Charlotte RACINE, il épouse le 14 mai 1831 Mélanie GRANDJEAN-PERRENOUD-COMTESSE, fille d’Henry, des Ponts-de-Martel.
1999 R 07
M. Pierre-Arnold BOREL
Jean Frédéric HUGUENIN-VUILLEMIN, fils de Jacob, bourgeois de Valangin est baptisé à La Chaux-du-Milieu le 18 octobre 1744. Il y épouse le 15 mars 1766 Marianne MATTHEY-GUENET, fille de Pierre, du Locle et domicilié à La Brévine.
Ils sont les parents d’une nombreuse famille dont Marianne née en 1769, Frédéric-Louis né en 1777, Félix né en 1782, Charles-Aymé né en 1787 et établi à Besançon.
Jacob HUGUENIN-VUILLEMIN, fils d’Abram, épouse Jeanne-Marie SANDOZ, fille de David, du Locle, bourgeois de Valangin. Elle meurt aux Ponts-de-Martel le 28 novembre 1778 à l’âge de 70 ans. Enfants connus : Jean-Frédéric né en 1744, Jacob né en 1746 et décédé en 1779, époux d’Henriette ROBERT-CHARRUE, fille de David, puis Théodore né en 1751 et Charles-Daniel né en 1754.
Abram HUGUENIN-VUILLEMIN est décédé avant 1744. Ses fils Abram et Jacob sont cités.
1999 Q 08
Dayl ROSS, Victoria, Australie
La question nous est transmise par Mme Claudine GAGNEBIN, à Neuchâtel.
« Mon trisaïeul Auguste LEUBA (1795-1874), fils d’Henri (1759-1811), horloger à Neuchâtel, était un commerçant prospère à Colombier. Auguste s’était associé à Albert BARRELET qui faisait venir du coton du Brésil pour les moulins de Cortaillod. Albert BARRELET, de Boveresse, homme de loi, était intéressé dans ces moulins ; il avait inventé une encre pour imprimer le coton. Auguste LEUBA recevait le coton d’un Suisse nommé STEIGER, planteur dans la province de Bahia. »
« La fille d’Auguste, Louise, a épousé Paul BARRELET, fils d’Albert. Le couple émigra au Brésil chez DE MEURON pour y cultiver le tabac pour la compagnie de tabac de Préfargier. »
« Ernest LEUBA, mon bisaïeul, troisième fils d’Auguste, émigra en Australie avec les PURY, DESCHAMPS et CASTELLA pour planter la vigne dans la région de Melbourne où il se maria avec Anna, originaire de Suisse alémanique. Mais en 1864 son père lui proposa d’aller au Brésil, d’abord pour travailler chez les DE STEIGER ; il se rendit ensuite chez sa soeur Louise dans le Pernambuco. C’est là que naquit mon grand-père Samuel LEUBA. »
« Ernest pensa que l’avenir était dans les plantations sucrières ; elles étaient pourtant moins rentables depuis l’abolition de l’esclavage au Brésil. Les LEUBA, en 1868, achetèrent une île en face des Fidji en Océanie et s’y installèrent. Ernest perdit la vie deux ans plus tard lors d’une révolte des indigènes. Anna revint alors à Colombier avec leurs deux fils et leurs deux filles. En 1883, on trouve la famille définitivement en Australie, faisant quelques séjours en Suisse, leur patrie d’origine. »
« Mon aïeul, Samuel LEUBA, a épousé en 1890 Cécile PARIS, d’une famille de Neuchâtel. Marie WEBER, la mère de Cécile d’origine bernoise, est née en 1840 et décédée en 1885. Nicole, fille de Paul BARRELET et de Louise née LEUBA, vit à Paris. On sait qu’elle a une soeur qui a épousé Henri CHABLE, architecte à Neuchâtel. Voici l’histoire de ma famille. »
« Henriette JEANRENAUD née LEUBA était la filleule de Mme Henriette DU PEYROU née DE PURY. La fortune des DU PEYROU a été faite en Guyanne hollandaise et au Brésil. Les DU PEYROU ont-ils eu des descendants ? »
1999 R 08
M. Pierre-Arnold BOREL
Henriette DU PEYROU née DE PURY, fille d’Abraham, de Monlési (1761-1818), n’a pas eu de descendance.
Louis BARRELET
Abram BARRELET-BOREL (1762-1820), de Boveresse, pasteur aux Ponts-de-Martel et à Bevaix, bourgeois de Neuchâtel en 1793, est la souche des BARRELET de Boveresse, des Ponts-de-Martel et de Neuchâtel [1]. Son fils cadet, l’homme de loi Albert-Henri-Alfred BARRELET (1803-1863), notaire à Colombier, épouse Anne-Marguerite MEYER. Elle lui donne 8 enfants dont Paul-Jaques-Albert, né en 1821, et James Félix né en 1829 et décédé en 1856 à Bahia.
Paul-Jaques-Albert BARRELET (1829-1896) épouse Louise-Françoise LEUBA ; il est consul de Suisse au Brésil vers 1850-1854, puis membre de la direction de la Caisse d’Epargne de Neuchâtel de 1864 à 1875. Le couple a 6 enfants : Paul-Auguste (1853-1907) ; Louise Adèle (1855-1888) épouse Philippe QUINCHE, pasteur ; Joseph Ernest (1858-1887), négociant, fondateur d’une section à Berne de la société d’étudiants Neocomia (Persévérance) ; Marguerite Eugénie (1859-1927) épouse en 1889 le pasteur Philippe QUINCHE, son beau-frère devenu veuf ; Jeanne Gabrielle (1861-1905) épouse en 1890 Henri CHABLE, architecte ; Marie-Madeleine (1862-1919) épouse en 1888 à Colombier Jules PERRIN, notaire, puis en 1906 à Neuchâtel l’architecte Henri CHABLE, son beau-frère.
Paul-Auguste BARRELET (1853-1907), notaire et avocat à Colombier, puis à Enghien-les-Bains, épouse Anna-Julia DE RICOU. Il est la souche des BARRELET-DE RICOU qui firent tous carrière civile, sportive et militaire au service de la France. Une rue de Paris porte leur nom. Parmi leurs enfants, Emmanuel-Pierre-Alfred BARRELET – DE RICOU (1882-1930), épouse Julia Appleton FULLER à Paris. Ils ont 2 fils, dont Claude-Alfred-Paul (1908-1935) épouse en 1831 Eleanor EDWARDS, à Cincinnati et à Chicago. Leurs petits-enfants, nés en 1958, 1961 et 1964 portent par adoption le nom du second mari de leur mère : WOOD PRINCE.
Quant à la famille de Louise-Françoise née LEUBA, elle compte des alliances CLAPAREDE (famille genevoise), OSTERWALD (de Neuchâtel) et peut-être avec la famille de Philippe GODET, au XIXe siècle.
Erratum publié dans le bulletin 14 de l’été 2000 :
Il faudra faire remarque que dans cette réponse, le nom BARRELET-BOREL (1762-1820) devrait se lire BARRELET-BORREL (1762-1820). La graphie avec deux « R » est correcte pour la branche BORREL.
[1] Armoiries principales : d’azur à la croix latine renversée accompagnée en chef de deux compas ouverts en chevrons d’or.
1999 Q 09
Joshua LITTLEFIELD, Wellesley MA, USA
Recherche l’ascendance d’Auguste JEANNERET-GROSJEAN, du Locle.
1999 R 09
M. Pierre-Arnold BOREL
Auguste JEANNERET-GROSJEAN est fils de Félix. Né au Locle le 15 avril 1812 et baptisé au mostier du Locle le 7 mai suivant, il épouse en 1838 Amalie Marianne WALTER, fille de Jean Guillaume et d’Agathe née WALTER. Leur fille Fanny Charlotte est née le 20 juillet 1842 et baptisée dans la foi protestante.
Félix JEANNERET-GROSJEAN, fils d’Abram, est né à La Chaux-du-Milieu le 7 février 1774 et a été baptisé le 13 du même mois. Il est horloger et son passeport lui permettant de se rendre à Paris est daté du 2 mai 1814. Veuf de Lydie MOURIER, fille de Daniel et Charlotte VUAGNEUX, décédée le 6 avril 1804 à l’âge de 30 ans, il épouse, le 20 juin 1805, Lydie PERRET, fille de feu Abram, de son vivant maire de La Sagne.
Abram JEANNERET-GROSJEAN, fils d’Abram-Louis est né rière La Chaux-du-Milieu. Il épouse, le 29 avril 1769 à La Chaux-du-Milieu, Marie-Magdelaine HUGUENIN-VIRCHAUX, fille d’Abram, du Locle, et de Susanne Marie HUGUENIN BERGENAT. Tous deux s’obligent, en date du 26 avril 1783, pour 4200 livres faible monnaye. Marie-Magdelaine meurt au Locle le 13 décembre 1812 à l’âge de 70 ans et 3 mois.
Abram-Louise JEANNERET-GROSJEAN, fils de Daniel, est né au Crozot le 1er novembre 1711. Il est horloger. Le 4 août 1731 il s’oblige pour 117 livres faible monnaie, assisté de sa mère. Le 3 février 1767, émancipation de ses fils Abram et Daniel, leurs frères et sœurs étant mineurs. Abram-Louis a épousé Marie-Françoise JACOT, dentelière, le 17 janvier 1739 au mostier du Locle.
Daniel JEANNERET-GROSJEAN, fils d’Abraham est dit majeur le 22 avril 1699. Le 16 avril 1768, il avait acheté une maison et sa terre sise aux Gillottes, quartier du Crozot. Il a épousé, le 9 février 1704 avec quittance de dot, Marie JEANNERET dit le GRIS, fille d’Abram, lui-même fils de feu Daniel et d’Elisabeth JEANNERET dit MAIRE. Lors de leur mariage, le père de Marie JEANNERET dit MAIRE lui fait résignation d’une terre arable au Crozot.
Abram JEANNERET-GROSJEAN, fils de Daniel, épouse Marie HUGUENIN du MITAND, fille du conseiller de commune Abram. Elle apporte en dot le maix de terre et hostau du Cernil de Communion, dit Le Grand Cernil, sis au Crozot (pour la suite, consulter le Livre de raison et chronique de famille – Les quartiers de Jean Samuel Jeanneret-Grosjean 1810-1853, p. 31 ss, par P.-A. Borel).
1999 Q 10
Mme Anne-Marie RITTERSHAUS, Neuchâtel
Recherche l’ascendance de David MARTIN (1750-1805), fils de David et de Marie-Esabeau BEDAUX, sa femme.
1999 Q 11
Mme Anne-Marie RITTERSHAUS, Neuchâtel
Recherche l’ascendance de Guillaume BINDITH, fils de Guillaume, de Boudry, décédé avant 1787, et de Marie-Marguerite EMONET, fille d’Isaac, de Boudry, sa femme.
1999 Q 12
M. Laurent DE WECK, Neuchâtel
Recherche l’ascendance de Daniel-François JEANRENAUD, mort à Neuchâtel le 8 février 1746. Il a épousé, à Travers, le 14 juin 1735, N… L’ECUYER.
1999 Q 13
M. Jacques BOURQUIN, Besançon
Recherche l’ascendance des frères Abraham, Jean et Claude CALAME, du Locle, partis s’installer à Allenjoie et Fesches-le-Châtel à la principauté de Montbéliard au cours du XVIIe siècle. Claude est né le 16 août 1647 à Goumois (Goumoy) alors terre de Franquemont; Abraham et Jean ont épousé deux sœurs, respectivement Elisabeth et Catherine DE PLACE, originaires de Courtelary en Ergüel. Ces CALAME ont eu une nombreuse descendances : co-juges, anciens d’Eglise et maires dans les communes voisines de Fesches-le-Chastel, Allenjoie, Dampierre-les-Bois et Dambenois.
1999 Q 14
M. Laurent DE WECK, Neuchâtel
Recherche la descendance de Charles GOLAZ, baptisé en la collégiale de Neuchâtel le 14 juin 1786, fils illégitime de Marguerite GOLAZ, fruit d’une liaison avec Thadée O’DUNNE, lui-même fils de Jacques-Bernard O’DUNNE, ambassadeur de Louis XVI à la cour du Portugal et qui, couvert de dettes, se réfugia à Neuchâtel de 1786 à 1807.
1999 Q 15
Katrina DE PIERRE, Québec
Recherche des informations relatives à Jacques DE PIERRE, bourgeois du Vercels, dont les trois fils, Simon, Claude et Marc étaient à Neuchâtel au début du XVIe siècle. Claude est la souche des branches neuchâteloises, dont l’une fut anoblie par le roi de Prusse en 1729.
1999 R 15
Voir la page : Jaques DE PIERRE
1999 Q 16
Katrina DE PIERRE, Québec
Recherche des informations relatives à Jeanne Antoine DE PIERRE, fille de Claude Antoine et de Catherine PERY. Elle a épousé à Lièvremont en 1786 Mathieu CHARGOT.
1999 Q 17
Jack DEVLIN, USA
Recherche l’ascendance d’Edouard VON KAENEL, né le 14 mai 1853, décédé aux Geneveys-sur-Coffrane le 14 décembre 1935, et de son épouse, Cécile Anna née NICOUD le 12 octobre 1855, décédée le 11 février 1891 à Berne.
1999 Q 18
Olivier MOMMEJA, Paris
Recherche l’ascendance de Charles Frédéric PETITPIERRE, bourgeois de Neuchâtel et dit conseiller de commune à Couvet. Il est le père de Lucienne Aspasie PETITPIERRE, née le 24 mars 1800 à Couvet et mariée le 30 septembre 1826 à Couvet avec Emile Paul François FAVRE, ressortissant français et négociant, né le 20 juin 1796 à Nantes Ponts Outre-Loire.
1999 R 18
Pierre-Arnold BOREL
Charles Frédéric PETITPIERRE, de La Mossa, fils d’Abram Henry, communier et conseiller de commune à Couvet, né le 24 mars 1777. Conseiller de commune à son tour, bourgeois de Neuchâtel, il épouse à Couvet, le 18 novembre 1797, Marie Louise DUBIED fille de Jean Henry, de Couvet, conseiller et capitaine de milices.
1999 Q 19
M. Jacques ROBERT, Toulouse
Recherche l’ascendance de Henri ROBERT (1863-1902), né à Alger, fils d’Emile.
1999 R 19
Voir la page : Henri ROBERT
1999 Q 20
Gérard LAURENT, F-25700 Valentigney
Je recherche l’ascendance de Jaques BRENET, né en 1668, ainsi que celle de sa soeur Claudine (1666-1740), épouse de Rudolphe REMONDANS, tous deux originaires du Locle.
1999 R 20
Pierre-Arnold BOREL
Au comté de Montbéliard, en 1525, la Réforme est venue par Guillaume Farel ; les deux tiers des habitants y sont protestants. Vandoncourt, sous la protection des princes de Wurtemberg, voit sa paroisse confesser la foi réformée luthérienne.
A Vandoncourt, depuis le XVe siècle, on exploitait les mines de fer qui contribuèrent à son développement par la formation d’artisans mineurs, fondeurs, forgerons ouvriers sur métaux et tailleurs de limes. Plusieurs familles venant des montagnes de Valangin vinrent s’y établir au XVIIe siècle, attirées par cette industrie. Parmi ces familles, la famille BRENET communière du Locle, vint faire souche à Vandoncourt.
Pour marquer leur appartenance confessionnelle, dans les campagnes, les jeunes filles portaient le « diairy » ou « fioucot », dit aussi bonnet à la huguenote, coiffure à deux nœuds derrière et un devant.
(Adaptation d’un texte de Gérard Laurent, par Jacqueline Borel).
A1. Jaques BRENET est né en 1688 à Vandoncourt près de Seloncourt. Il est fils de Jaques et de Marguerite CRELEROT. Sa première femme, Marguerite GOUBOT, lui donne Anne née en 1706 et Jérémie (1711-1788). Veuf, Jaques se remarie avec Magdeleine PERRET-GENTIL, du Locle. Ils ont 5 enfants :
- Jaques né en 1738,
- Elisabeth et Marguerite nées en 1739,
- Jean Georges né et décédé en 1745 et
- Marie Marguerite née en 1746.
A2. Jérémie BRENET est fils de Jaques. Né en 1711, il épouse Catherine Anne CORNETET (1717-1787) ; décédé en 1788. Leurs enfants naissent à Vandoncourt. Ce sont :
- Jean François né en 1731,
- Elisabeth (1738-1740),
- Charlotte (1743-1782) qui épouse Samuel REYMOND à La Chaux-de-Fonds,
- Marguerite (1745-1747),
- Marie Elisabeth dit Huguenotte (1746-1824) épouse de Jaques BERNARD qui meurt en 1774,
- Marguerite née en 1747 et qui épouse Jean CHAVEL,
- Jean (1750-1816) qui sera mineur à Vandoncourt et dont l’épouse se nomme Catherine FRETET,
- Frédéric (1752-1829) est l’époux de Susanne Catherine MARTIN,
- Pierre Abram né en 1754,
- Jean-Pierre né en 1757,
- Jaques (1760-1810) a épousé Marguerite RACINE à Vandoncourt en 1778.
B1. Georges BRENET est fils de Jaques et de Marguerite CRELEROT; il est le père de Jaques et de Catherine (1700-1750) qui épouse Jean-Pierre Brandt, berger à Pompierre les Bois.
1999 Q 21
Etienne KAUFMANN, Rambouillet
Recherche tous renseignements sur les ascendants d’Amélie CHARLES, née le 29.05.1801, baptisée le 27.06.1801 à Auvernier, fille de Pierre Josias (d’Oppens district d’Yverdon) et de Henriette MAIGNY (famille protestante).
1999 Q 22
Ville de LA ROCHELLE, France
Opération « DIASPORA ROCHELAISE » : La Ville de la Rochelle cherche à nouer des liens avec tous les Rochelais installés dans le monde entier.
1999 Q 23
Eric-André KLAUSER, Fleurier
Certainement tante d’Alice THOMMEN (1893-1947) – épouse de Charles MAULER, directeur de la maison de vins mousseux du prieuré de Saint-Pierre – et sœur d’Hélène THOMMEN, née JEANRENAUD, originaire et native de Môtiers – femme d’Alphonse THOMMEN, horloger et constructeur en 1906 de la maison de maître du n° 2 de la rue des Comblémines à Môtiers – une demoiselle JEANRENAUD a épousé un Chinois et vécu à Shangaï. Elle est venue dans les années 1930 en visite dans son village natal où elle a fait parvenir nombre d’objets orientaux répartis ensuite dans la famille.
Quand était-elle née ? Quand et où est-elle décédée ? Quelles étaient l’identité et la profession de son mari ? A-t-elle eu des descendants ?
1999 Q 24
Eric-André KLAUSER, Fleurier
Ulysse et Fanny JEANNERET-JEANMAIRET (Les Ponts-de-Martel) ont eu trois fils : Auguste, Alfred et Albert-Paul. Ledit Alfred (1851-1938), allié Louise-Félicie PHILIPPON, a été le père de quatre enfants : Alfred (allié Caroline GUILLOT), Charles (allié Henriette CAILLER), Jules et Rose (alliée Henri FILLIETTAZ, 1887-1976). Jules (1874-1941), marié avec Blanche JACCARD (1880-1977), a laissé à son tour quatre descendants : Madeleine, née en 1911, restée célibataire ; René, marié à Irène SIEBER et père d’Anne-Lise, de Marc et de Raymond ; Georges, né en 1916, allié Edit MOTTIER, sans descendance ; et Pierre, né en 1918, allié Dorcas HOURIET, père de Christiane, Lise, Anne-Marie et Eric.
D’où cette branche des JEANNERET est-elle originaire ? Quelles sont les dates de naissance et de décès des membres de cette famille cités ici et de leurs descendants ? Quels étaient les aïeux du couple Ulysse et Fanny JEANNERET ?
1999 Q 25
Nancy WEBER, Brésil
Je suis à la recherche de tous renseignements sur la famille PERRET, de Neuchâtel, qui a émigré au Brésil au début du XIXe siècle.
1999 Q 26
Jacques ROBERT, Toulouse
Recherche l’ascendance d’Emile ROBERT, horloger, originaire du Locle, né vers 1839 ; époux de Louise VOLZ, ont émigré en Algérie. Leur fils, Henri ROBERT, né à Alger le 22 avril 1863, meurt le 21 mars 1902 à Mahelma près d’Alger ; agriculteur, il a épousé le 14 août 1894 Mathilde MAS, née le 10 décembre 1869 à Mouzaïaville. Elle est décédée le 10 février 1919. Le petit-fils d’Emile, Michel, naît le 13 mai 1900 à Mahelma près d’Alger ; il devient professeur technique dans un lycée d’Alger et décède à Toulouse le 28 avril 1984. L’arrière-petit-fils d’Emile, Jacques, est comptable dans une fiduciaire, ainsi que directeur du bureau.