Bulletin 45 / Décembre 2011

Famille de Montmollin, branche d'Auvernier

Faisant suite à la récente visite de la Borcarderie organisée par la société, nous avons le plaisir de vous soumettre, ci-après, 2 extraits de la généalogie de la famille de Montmollin, propriétaire de cette magnifique demeure. Les recherches ont été effectuées par Pierre-Arnold Borel.

I. de Montmollin Jean, fils d’Auguste, communier de Valangin et autres lieux, bourgeois de Neuchâtel, né le 2 juin 1835, décédé le 25 novembre 1930, à La Recorbe à Neuchâtel. Lieutenant aux tirailleurs de la Garde du roi de Prusse, à Berlin et Potsdam, colonel fédéral (Suisse), directeur de la police municipale à Neuchâtel, conseiller communal et Grand Conseiller à Neuchâtel. Il fut moniteur-enseignant à l’École du Dimanche protestante à la Collégiale, Neuchâtel durant toute sa vie. Viticulteur, propriétaire du vignob1e et du château d’Auvernier et du domaine de montagne des Planches s./Dombresson (Va1-de-Ruz), il épouse, le 7 mars 1860 à la Collégiale de Neuchâtel, Sophie Adèle Augusta de Pourtalès, fille du comte Louis-Auguste de Pourtalès, née le 4 juillet 1841, à Neuchâtel, où 
elle décède le 9 août 1919. C’est dans sa dot qu’elle apporte le château d’Auvernier à la famille Montmollin. Elle même ne veut pas résider dans cette demeure Renaissance, trop campagnarde à son goût. Le ménage vit donc en leur maison de ville, au 6 de la rue de l’Hôpital, à Neuchâtel. En 1906, ils construisent, face au lac, dans leurs vignes de La Recorbe (héritées des Vaucher), une grande maison dans le style de l’époque.

 

II. de Montmollin Auguste, fils de Frédéric-Auguste communier et bourgeois de Valangin et de Neuchâtel, né le 19 avril 1808, décédé le 5 janvier 1898. Études de géologie à Zurich en 1823. Polytechnicien, il découvre que la pierre jaune (Hauterive) n’appartient pas au jurassique mais au crétacique, on lui doit la nomenclature des terrains valanginien, néocomien et hauterivien. Lui, avec ses fils, sont parmi les fondateurs de la Société neuchâteloise des Sciences Naturelles. Il est membre du Grand Conseil de Neuchâtel jusqu’en 1848. Ensuite il prend parti pour la contre-révolution qui échoue en 1856. Son manoir de la Borcarderie (Valangin), est devenu le rendez-vous des conspirateurs royalistes. Lié par son serment au roi de Prusse prince de Neuchâtel, Auguste participe à ce coup d’état, il est arrêté et incarcéré.

Il a épousé Charlotte Louise, fille de Jean-Jacques Vaucher de Fleurier. Elle est née le 15 janvier 1815, a fait sa première communion en 1831 au temple de Peseux. C’est elle qui apporte le domaine des Planches sur Dombresson
à la famille Montmollin. Elle est décédée le 21 mai 1888.

 

III. de Montmollin Frédéric-Auguste, est né le 10 septembre 1776 dans le salon du château de la Borcarderie (Valangin), et décédé à Neuchâtel le 18 avril 1836. 

Études de droit et de mathématiques à Bâle, de sciences économiques à Genève. Il est nommé maire de Valangin à l’âge de 27 ans, Conseiller d’État à titre honorifique, député à la Diète, chevalier de l’Ordre de l’Aigle Rouge en 1822. En 1814, il est député en second aux négociations fructueuses de Zurich en vue de l’entrée du canton-principauté souverain de Neuchâtel dans la Confédération helvétique, Frédéric Auguste et les deux autres Conseillers d’Etat neuchâtelois Georges de Rougemont et le comte Louis de Pourtalès, tous les trois délégués à Zurich pour la signature du Pacte Fédéral, eurent de la peine à s’entendre lors de l’organisation de leur voyage. Georges de Rougemont (« le procureur » bien connu pour son caractère cassant), exigeant que ses collègues voyagent dans sa voiture, et ne voulant pas céder sur cette question de protocole, chacun partit dans son propre carrosse. Déjà des problèmes de covoiturage…

Bien que canton suisse, l’État souverain de Neuchâtel conservait ses liens avec la maison royale de Prusse, ce qui fait que Frédéric Auguste est chambellan à la cour de Prusse. Il est juge au tribunal des Trois-Etats à Neuchâtel. Il est aussi président de la Société du Jardin. Ami des arts, il reçoit chez lui le peintre Léopold Robert.
Ses contemporains disent de lui : « Il a une haute dignité morale et la politesse la plus exquise. »

 

I. de Montmollin Jean-Frédéric, fils de Georges, communier des Geneveys-sur-Cofrane, de La Chaux-de-Fonds, de Valangin, de Corcelles et de Cormondrèche, bourgeois de Valangin et de Neuchâtel; châtelain de La Borcarderie, sa résidence. Baptisé. le 8 juillet 1740, il décède le 19 janvier 1812. Apprentissage de commerce à Bâle (en 1756) en même temps que son catéchisme protestant. Il est Conseiller d’Etat, maire de Valangin, membre de la noble société du Jardin. Président de la commission de construction de l’Hôtel de Ville de Neuchâtel, chanoine de l’ordre luthérien de Sankt Petri & Paulus de Magdebourg, chambellan du roi de Prusse.

Maître indienneur, il obtient en 1760 la concession de nouveaux droits d’eau sur le Seyon pour y exploiter sa manufacture de toiles peintes, à La Borcarderie. Sa société est inscrite au Registre du commerce en 1794 sous le nom de « Montmollin, Berthoud & Cie ».

Le 29 mars 1779 Montmollin demande la restitution de 12 balles de toile qui étaient destinées à Ostende par la maison Montmollin et de Luze, mais conduites par mégarde par les charretiers à Dunkerque. Le 30 mars 1779, la banque Rougemont, de Paris, est chargée d’encaisser 189 livres 16 sols pour une autre vente d’indiennes faite à la foire de Strasbourg à la Saint-Jean 1778.

Jean Frédéric de Montmollin s’intéresse aussi à la manufacture des Isles, à Boudry, propriété du banneret de Luze, son beau-père, puisqu’il a épousé, le 25 avril 1768 Anne-Marie (Marianne) de Luze, bourgeoise de Neuchâtel, fille de Jean-Jacques, née le 23 janvier 1749, décédée le 8 octobre 1820.

C’est elle qui complimente et offre des fleurs au gouverneur Lentulus lors de son accueil à Neuchâtel. Celui-ci lui répondit en vers et en lui offrant un superbe éventail.
Au sujet de son époux Jean-Frédéric, on dit qu’il est un homme de grande distinction et qu’il incarne le parfait gentilhomme du XVIIIème siècle. Deux tapisseries de la Borcarderie sont déposées, l’une au château de Valangin, l’autre au musée régional du Val-de-Travers (salle des dentellières), représentant toutes deux l’arbre de vie. Le livre des comptes de la manufacture est déposée au musée du château de Valangin.

Leur fils, Georges-François (1769-1792)
Le récit qui suit est intégralement copié dans « portraits neuchâtelois » de Maurice Boy de la Tour et Paul de Pury et dont le texte est de Philippe Godet:

« …Georges-François était un beau jeune homme un peu indolent et naturellement doué pour les arts. Madame de Charrière, qui aimait à faire avec lui de la musique, vante le son qu’il tirait de son violon; il composait des romances, il gravait aussi à l’eau-forte et fabriquait de jolis meubles en marqueterie.
Devenu à vingt ans officier dans le régiment de Salis-Samaden, cantonné à Rouen, il y rencontra Mademoiselle de Trémauville, fille d’un chevalier de St-Louis, ancien « mestre de camp de cavalerie ». Ils se fiancèrent. Le jeune sous-lieutenant, espérant entrer aux Gardes-suisses, passa l’année 1790 en congé à Neuchâtel où se trouvait la famille de Trémauville, qui avait émigré. Sitôt qu’une place fut vacante aux Gardes, il partit pour Paris, où il arrivait deux jours avant le massacre du 10 août. Son uniforme n’était pas encore achevé. Et il dut en emprunter un pour courir à la défense des Tuileries. Pendant le combat, il portait comme enseigne le drapeau du régiment, qu’il ne voulut jamais abandonner. Blessé en le défendant, il dit à un caporal: « Laissez-moi mourir! Sauvez-vous et  déchirez le drapeau! »
Le caporal ayant été à son tour mortellement frappé, Montmollin s’enveloppa des plis du drapeau et mourut dans ce noble linceul. Cette fin glorieuse et le désespoir de Melle de Trémauville firent à Neuchâtel la sensation qu’on devine. La malheureuse fiancée eut peine à se consoler; ce n’est que dix ans plus tard (1802) qu’elle épousa le comte de Mesrigny. Le nom du jeune héros neuchâtelois est gravé sur le socle du Lion de Lucerne.
Son portrait est daté de 1785 et peint par Urlaub, de Hanau.
La fiancée de Georges se nommait Alexandrine Julie Estièvre de Trémauville, était fille du marquis Pierre Bruno Emmanuel et de Marie Claude de Grieu. Châtelains de Sahurs près Canteleu (Normandie), les Trémauville quittent leur domicile parisien de la rue Royale (1789), invités au Bied (Colombier) pour faire connaissance du prétendant. Melle de Trémauville y avait apporté son clavecin (offert par la reine Marie-Antoinette). Cet instrument ainsi qu’un cahier de musique « cinq romances pour pianoforte et harpe » composé par Georges de Montmollin dédié à la marquise, mère de sa fiancée, sont au Musée d’histoire de Neuchâtel. »

Note historique: Avec Montmollin près de mille Suisses meurent en cette cruelle journée du massacre du 10 août. Ils sont enterrés au cimetière de la Madeleine, aujourd’hui square Louis XVI, à l’Angle de la rue d’Anjou et de la rue des Mathurins, à gauche de la chapelle expiatoire. Lorsqu’on est à Paris il vaut la peine d’aller se recueillir auprès du « carré des Suisses ». Sur le sol, une large croix de dalles marque l’emplacement où la plus grande partie d’entre-eux tombèrent, face à l’Arc de Triomphe du Carroussel, dans l’enceinte du Louvre, venant de la rue de Rivoli à notre gauche, entre les pavillons Denon et Richelieu. 

II. de Montmollin Georges, bourgeois de Neuchâtel et de Valangin, baptisé le 16 janvier 1710, décédé le 21 mars 1786, Fils de Jean Henri, il habite la Borcarderie sur Valangin, où il est maire, et sa maison de ville sur la place du Marché de Neuchâtel. Il est  conseiller d’État, capitaine des Mousquetaires, grand et petit conseiller de ville à Neuchâtel. Il est l’auteur de l’ouvrage politique « Mémoires justificatives ». Il fabrique des toiles peintes à la Borcarderie. Le 7 novembre 1772, le roi de Prusse lui concède des lettres de noblesse.
Il épouse, le 7 novembre 1772, Magdelaine Esabeau Purry, bourgeoise de Neuchâtel, fille d’Abraham ((1711-1791).

III. de Montmollin Jean Henry, bourgeois de Valangin et de Neuchâtel, bourgeois d’honneur d’Haddington en Ecosse, châtelain de la Borcarderie.

Fils de Georges, né à Neuchâtel le 12 novembre 1671 et décédé à Neuchâtel le 16 septembre 1725. Orphelin de mère à l’âge de 4 ans, à 10 ans il est mis en pension à Bâle. A 16 ans, il est à Amsterdam, dans un comptoir, pour s’initier au commerce. Il est attiré par la carrière des armes et, à peine âgé de 20 ans, il est enseigne dans le régiment Beveridge, passant en Irlande et en Ecosse. Capitaine dans le régiment Auer, il est major à 27 ans. A la demande de son père il rentre au pays et à la mort de ce dernier, Jean Henry gère les biens de la famille.

Il a des intérêt dans une maison de commerce de Marseille qui affrète le vaisseau « Le Prophète Jonas ».
Conseiller en l’Etat souverain et principauté de Neuchâtel et Valangin, Jean Henry œuvre en faveur de l’investiture de Frédéric 1er roi de Prusse en tant que Prince de Neuchâtel (après l’extinction des Longueville). Après sa nomination en 1707, le roi de Prusse  manifeste sa reconnaissance à Montmollin en lui offrant, en 1709, des lettres de noblesse avec augmentation d’armoiries: …ces dernières seront ornées, au premier et quatrième quartiers de meubles empruntés aux armes de la maison royale = sur champ d’argent deux ailes éployées d’aigle et de sable.

En 1723, Frédéric-Guillaume 1er le convoque à Berlin pour examiner avec lui le conflit existant entre le Conseil d’Etat et la bourgeoisie de Valangin.

Le 13 novembre 1708, il épouse, au temple du Bas de Neuchâtel noble Barbe d’Osterwald, fille du théologien Jean-Frédéric (1663-1747), surnommé le grand Osterwald. Barbe est née en 1685. Noble dame, pieuse et respectable, généreuse pour les pauvres s’éteint nonagénaire, ensevelie le dimanche 13 octobre 1776.

IV. de Montmollin Georges, bourgeois de Neuchâtel et de Valangin, fils de Jonas, communier de Neuchâtel, des Geneveys-sur-Coffrane, de Dombresson, de La Chaux-de-Fonds dès 1659, de Valangin depuis 1675 et de Corcelles-Cormondrèche depuis 1688. Né
en 1628, décédé le 11 novembre 1703. Il étudie le droit à l’université de Bâle puis effectue des stages à Orange, Orléans et Paris. Il est procureur général de la principauté, chancelier et conseiller d’Etat influent. Il est un des promoteurs de l’avènement de la maison de Prusse, anobli par Henri II de Longueville. En 1657 il achète le château de la Borcarderie à Valangin et la propriété de l’Evole à Neuchâtel. Il construit la maison Montmollin de la place des Halles à Neuchâtel. Homme d’affaires, viticulteur, encaveur, agronome, éleveur de bétail Le 20 octobre 1651 il épouse Elisabeth Guy, fille de feu Abram de Fenin, bourgeoise de Neuchâtel et de Valangin, née en 1633, décédée le 14 novembre 1675 à Neuchâtel. Elle est la nièce de Tite d’Aubigné; on connaît deux portraits d’elle; Le couple s’installe à la rue du Trésor à Neuchâtel, où naissent leurs 10 enfants dont:

  • David, 1658-1696. Epoux de Marguerite Marval; il est secrétaire d’ambassade au service du royaume de France. Son passeport est signé par Louis XIV et Colbert.
  • Louis, 1659-1678, receveur de Valangin.
  • Charles, 1664-1701, colonel du régiment Montmollin au service des Etats Généraux; il épouse Charlotte Valkenier fille du ministre des Etats Généraux auprès des Cantons Suisses.
  • François, 1669-1704, lieutenant colonel au régiment suisse de Stürler, mort à la bataille d’Höchstedt-Benheim, le 13 août 1704. 

V. de Montmollin Jonas, fils de Georges bourgeois de Neuchâtel ainsi que communier de cette ville et des Geneveys-sur-Coffrane. Communier de Dombresson à partir de 1637. Né en 1606, décédé en 1642. Il est receveur de Valangin. Viticulteur; il épouse  Petitpierre Marguerite, née en 1595, décédée le 25 avril 1675, fille de Guillaume. enfants:

  • Georges, 1628-1703.
  • Guillaume, épouse en 1654, Esther Guy, décédée en 1706. Guillaume est pasteur à Valangin et doyen de la Vénérable Classe.
  • Jean, 1634-1696, épouse Esabeau Rosselet fille d’Emer. Jean est receveur de Valangin. Il achète La Borcarderie, le château et sa ferme en 1674. Il les revend l’année suivante à son frère Georges.
  • Henry,1637-1711, receveur de Valangin, épouse Louise-Lucie Tribolet-Hardy
  • Jonas,1642-1676, receveur de Colombier.

VI. de Montmollin Georges, 1580-1634, communier des Geneveys-sur-Coffrane, bourgeois de Neuchâtel. Viticulteur, négociant en blés, marchand drapier. Lieutenant du maire de Neuchâtel en 1600, s’intéresse à la politique du comté et à l’histoire. Il est fils de Wolfgang. Le 18 août 1600, il épouse Marguerite Favarger, de Neuchâtel, soeur du maire de Neuchâtel, fille de David. Enfants:

  • Jean-Jaques, né en 1608, décédé au Piémont en 1642 au service d’une compagnie du roi de France dont il est capitaine. Il avait épousé Suzanne Conrard, puis Anne Heinricher, de Bienne.
  • Magdelaine 1612-1662, épouse Claudy Petitpierre, de Couvet et maire des Verrières,
    Ils offrent, au temple de Couvet, un vitrail à leurs armes. Le portrait de Magdelaine porte l’inscription « aetatis suae 49 anno Domini 1662, vanitas vanitatum. Hodie mihi, eras tibi; en effet, c’est l’année de son décès.
  • Esther, décédée en 1683, épouse de Tite d’Aubigné (parente de Madame de Maintenon née Françoise d’Aubigné).

VII. de Montmollin Wolfgang, 1552– 1588, bourgeois de Neuchâtel, fils de Claude, notaire; économe du château de Neuchâtel. Homme avisé, obtient les bonnes grâces des comtesses de Neuchâtel Jacqueline de Rohan et Marie de Bourbon. Il a épousé Magdelaine Marcuart, fille du notaire et bourgeois de Payerne Jehan Marcuart. Veuve de Georges Maeder bourgmestre de Morat, elle avait épousé en secondes noces Jean Chambrier notaire-économe du château de Neuchâtel. veuve pour la deuxième fois, Magdelaine épouse, vers 1580, Wolfgang de Montmollin, dont:

  • Georges, 1580-1634

VIII. Montmollin Claude, 1530-1573, bourgeois de Neuchâtel, fils de Claude, notaire, homme d’affaires, maire de La Côte et de Travers. Il fait un brillant mariage en 1548, avec Olivière Baillods, de Môtiers, fille de noble Claude châtelain du vaux Travers. Olivière hérite une maison à Auvernier, de la part de sa mère. Enfants:

  • Wolfgang, 1552-1588.
  • Loys, grand sautier de la seigneurie; brevet de 1592. Il épouse Jaquaz Bourgeois.

IX. de Montmollin Claude, 1490- 1530) débile, il teste le 12 mai 1530 il était le fils de Mathilde. Il a épousé Guillauma Bertin, fille de Pierre, de Cormondrèche.

X. Morel dictus Magnin Antoine, fils N., marié sous le régime matrilocal, vigneron. Sa lettre de bourgeoisie date de 1528. il a épousé Mathilde Montmollin, fille de Jehan, née en 1460, décédée et ensevelie au cimetière de l’église de ND de Corcelles. Elle a vécu à Cormondrèche. Fut une femme ambitieuse.

XI. Montmollin Jehan, vigneron, cité en 1454 Il possède une maison à la rue du Château, à Neuchâtel; il est le fils de Jehan. Il a épousé Jaquette Magnin, fille de Jehan, enfant: Mathilde.

XII Montmollin Jehan, cité en 1401, épouse inconnue. Il a un enfant, Jehan.

XIII Montmollin Vuillemin, fils de N, cité en 1330 et 1375, propriétaire vigneron à Cormondrèche. Epouse: NN, Marguerona, enfant: Jehan.